Spaluxe.tv fashion section is coming soon.
Here some haute couture hats for the sunlights not for the sunshine 😉
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Voyage onirique au #Mandarin Oriental de Paris entre hommage aux divas créatrices et esthètes des années 30 et magie d’un ballet de papillons en ombres chinoises.
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Vertige, pas le vertigo du maître du suspens, mais celui d’un papillon égaré au huitième étage d’un palace, dans une suite immense et claire, aux lourdes tentures chaudes, aux vastes baies qui restent closes.
La liberté passe par le chemin des terrasses qui donnent sur le Paris de la mode et des arts. Un dernier tour pour saluer le design qui célèbre les divas créatrices et esthètes des années 30 (Chanel, Schiaprelli) et le papillon plonge vers le patio aux 100 espèces, caresse d’une aile les feuilles du mur végétal, goûte la fraîcheur de la chute d’eau et se pose sur un camélia.
C’est ici que les humains déjeunent ou se détendant entre bar et restaurant gastronomique.
La papillon a appris à connaître leurs usages.
Mais voilà que ses antennes frémissent.
De curieux congénères de cristaux et de verre scintillent près d’un plafond de feuilles d’or, d’une sculpture en forme d’homme-horloge. D’autres dorment sagement dans des niches précieuses. Des spécimen bien étranges peuplent ce lobby exotique. Des papillons voyageurs sans doute venus de lointaines contrées.
En suivant de vitrine en vitrine la vie de ses condisciples murés dans leur éclat, le papillon parisien rejoint une cascade qui bouillonne dans un grand bassin. La lumière est tamisée comme un coucher de soleil pluvieux. Les humains appellent ce lieu : spa. Ils y viennent pour des caresses -les massages- des bains, pour se reposer et se sentier bien.
Tiens voilà des abeilles. Où sont les fleurs à butiner ?
Puis il les voit. Ils volent, ils sont vivants, ils dansent. Les papillons, d’autres papillons. Ils apparaissent et disparaissent sur le mur près du bassin.
Mais où vont-ils ?
Nulle part.
Ce sont des ombres chinoises, des papillons fantômes à la grâce envoûtante.
Une valse d’ailes plus tard, le papillon s’arrache à la magie du ballet. Il effleure quelques pétales de pivoines et s’envole vers les Tuileries.
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Sweet stay and video shooting in Mauritius.
Enjoy some pics of the 2000 m2 spa, its coco massages and its colonial style !
Jaccuzi, relaxing area and feet coco treatment place
Baths and elements of style/ Le telfair spa
After the flower & essential oils bath, a relaxing moment
Enjoy a little bouddha blesses you
Il ne fait pas bon être manucure à New York. Le New York Times a enquêté pendant un an dans la ville et ses environs, interrogeant 300 jeunes femmes pour la plupart en situation illégale. Toutes avaient un point commun : être manucure dans les salons low cost qui pullulent dans la mégapole de la côte Est et emploient des milliers d’immigrées. Selon la journaliste Sarah Nir, la plupart d’entre elles travaillaient dans des conditions proches de l’esclavage. Le journal rappelle que le nombre de ces salons a été multiplié par trois en 15 ans en raison de la politique de bas prix pratiquée par les propriétaires. De quoi encourager les clients à pousser la porte des échoppes. Le prix est lourd du côté des « employées ». Payer pour travailler Les jeunes femmes doivent acquitter environ 200 $ pour obtenir un poste. Elle ne reçoivent aucune rémunération jusqu’à ce que le propriétaire juge qu’elles ont acquis les « compétencses » nécessaires. Elles touchent alors 10 $/ jour durant les premières semaines. Elles dorment dans des réduits crasseux après 12 h à 14 h d’un travail sans pause ou presque. Un système de castes. La plupart des propriétaires des salons étant d’origine asiatique, les coréennes sont privilégiées tandis que les hispaniques se voient traiter comme des intouchables indiennes. L’exploitation économique se double d’une discriminations digne d’un système de castes. Andrew Cuormo, le maire de New York, a annoncé, le 18 mai dernier, un ensemble de mesures pour limiter les abus et protéger le personnel. Un groupe de travail doit être mis en place. Le gouverneur s’est déclaré en faveur de la santé et de la sécurité des employés. Par exemple l’obligation du port de gants et de masques ainsi que la présence d’un ventilateur pour disperser les vapeurs toxiques soupçonnées d’être à l’origine de leucémie, de fausse couches… Source : Le New-York Times lien ICI http://www.nytimes.com/2015/05/10/nyregion/at-nail-salons-in-nyc-manicurists-are-underpaid-and-unprotected.html?_r=0 et 20 Minutes http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/New-York-lutte-contre-les-abus-chez-les-manucures-30771293 Crédit photo : Nicole Bengiveno /New-York Times
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